Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Hyper Quelque Chose !

  • Maous Artiste Défiant l'Olibrius
  • Une linguiste associée avec une artiste ! Mado fait de la peinture et moi, je m'exerce au journalisme, à la traduction et à l’écriture pour le plaisir des mots et des couleurs.
  • Une linguiste associée avec une artiste ! Mado fait de la peinture et moi, je m'exerce au journalisme, à la traduction et à l’écriture pour le plaisir des mots et des couleurs.

Rechercher Sur Le Site

Le Fourre Tout !

Cadeaux des ami(e)s

medaille-meilleur-blogsarah151109.jpg

offert par mon amie Jeanne Fa Do SI
pour mon regard fouillé sur les coutumes et la nature autrichienne.
Merci Jeanne

Texte Libre

Related Posts with Thumbnails
21 décembre 2008 7 21 /12 /décembre /2008 08:00
21 décembre 2008 - 22e jour du calendrier de l’avent et donc le vingt et unième  conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)… Noël est tout prêt.

 Il était une fois un roi. Il avait un fils qui avait demandé la main de la fille d'un roi puissant. Elle s'appelait Méline et était admirablement belle. Mais son père avait refusé la demande du prince, car il avait déjà décidé de donner la main de sa fille à un autre prince. Or, les deux jeunes gens s'aimaient d'un amour tendre. "Je ne veux que lui," déclara Méline, "et je n'en épouserai aucun autre." Le père se fâcha et fit construire une tour à l'intérieur de laquelle pas un seul rayon de soleil ni la lueur de la lune ne pouvaient passer. Et il dit :
- Tu seras enfermée dans cette tour pendant sept ans ; ensuite, je viendrai, pour voir si ton obstination et ton entêtement ont été brisés.
On apporta dans la tour à manger et à boire pour sept ans et Méline et sa femme de chambre y furent emmenées et emmurées. Coupées de la terre et du ciel, elles devaient rester là, dans l'obscurité totale. Le prince venait souvent près de la tour et appelait Méline par son nom, mais le mur épais ne laissait pas passer sa voix.
Et le temps passa et selon la quantité de nourriture et d'eau qui restait, Méline et sa femme de chambre devinèrent que les sept années touchaient à leur fin. Elles pensaient que leur libération était déjà proche, mais aucun bruit de l'extérieur ne leur parvint. Elles n'entendirent pas des coups de marteau, pas la plus petite pierre du mur ne tomba. Elles n'avaient plus que très peu de nourriture et une mort atroce les attendait. Méline dit alors :...

 

Celui ci je ne le connaissais pas. Si vous voulez lire la suite... cliquez ici qui vous mènera sur un autre article de mon blog.

 

Sinon allez directement sur le site officiel des Frères Grimm.

 

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 18:00
Une chienne de race Leonberg « Nora » aide les pensionnaires d’un hospice Caritas de Linz à communiquer de nouveaux avec le personnel soignant. Celui-ci reconnaît que Nora a un effet calmant, particulièrement sur les personnes atteintes de démences. Beaucoup de personnes qui s’étaient renfermées sur elle-même reprennent goût au contact.

 

Maria (85 ans) prend son déambulateur et rejoint la salle à manger. Le chemin lui semble long et pénible mais la vieille dame est tout sourire qujourd'hui car Nora l’accompagne. La chienne va au même rythme que Maria et si celle-ci s’arrête, Nora s’arrête. Maria est atteinte depuis plusieurs années de la maladie de Parkinson. Depuis quelques semaines, juste après l’arrivé de Nora dans l’hospice, Maria a recommencé à se déplacer pour venir manger et ne se renferme plus, discute avec les autres pensionnaires de Nora et même mange toute seule.

 

Nora accompagnée de son ami bipède visite aussi les petits malades du service de psychiatrie et un centre pour enfants handicapés mentaux. Souvent elle partage les repas et grâce à son excellente constitution, Nora supporte toute alimentation qui va du petit gâteau au morceau de viande en sauce.

 

Ce n’est pas la première fois que j’entends parler d’animaux dans les maisons de retraites. Celle de Stubai (Autriche) a son propre poulailler et plusieurs animaux domestiques. Les pensionnaires nourrissent les poules et ramassent les œufs, font du pain et des gâteaux, participent à la cuisine et épluchent les légumes ainsi les personnes ne se sentent pas inutiles.

 

Je tenais à saluer ces initiatives qui permet aux anciens de garder le goût de vivre !

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 08:00
20 décembre 2008 - 21e jour du calendrier de l’avent et donc le vingtième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)… Noël approche à grands pas.

 

Cette histoire, je l'ai entendue dans mon enfance. Chaque fois que j'y pense, je la trouve plus intéressante. Il en est des histoires comme de bien des gens : avec l'âge, ils attirent de plus en plus l'attention. Vous avez certainement été déjà à la campagne, et vous avez vu de vieilles maisons de paysans.

Sur le toit de chaume, il y a des mauvaises herbes, de la mousse et un nid de cigognes. Ce sont les cigognes surtout qui ne doivent pas manquer. Les murs penchent, les fenêtres sont basses et une seule peut s'ouvrir. Le four ressemble à un ventre rebondi, les branches d'un sureau tombent sur une haie, et le sureau se trouve à une mare où nagent des canards. Il y a encore là un chien à l'attache, qui aboie après tout le monde, sans distinction.

Dans une de ces maisons de paysans habitaient deux vieilles gens, un paysan et sa femme. Ils n'avaient presque rien, et pourtant ils se trouvaient avoir quelque chose de trop, un cheval, qu'ils laissaient paître dans le fossé près de la grand-route. Le paysan l'enfourchait pour aller à la ville, et de temps en temps le prêtait à des voisins qui, en retour, lui rendaient quelques services. Mais les vieux pensaient qu'il serait meilleur pour eux de vendre le cheval ou de l'échanger contre quelque objet plus utile. Mais contre quoi ?

 

Si vous voulez lire la suite... cliquez ici qui vous mènera sur un autre article de mon blog.




 

Sinon allez directement sur le site officiel des contes Andersen.

 

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2008 5 19 /12 /décembre /2008 18:00
La saison est ouverte ! La saison du Zipflbob aussi… et là vous vous demandez ce que c’est que ce truc là !

 

Dernièrement la coupe du monde de Zipflbob (minibob) a eu lieu dans la vallée de Pitztal sur le glacier. Depuis plus d’un mois, le maître mot était " fé-bri-li-té " pour la préparation de la piste la plus spectaculaire du tournoi. Fébrilité mais pourquoi ? Parce que 100 athlètes étaient réunis pour dévaler les 400 mètres de piste à toute allure.

 

Ce qui était bien, c’est que tout le monde pouvait participer pour s’essayer au minibob et gagner la coupe et bien sûr le prix qui allait avec : 1000 Euros de sponsoring.

 

Le record de vitesse est de 139 km/h. A vous de jouer !

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2008 5 19 /12 /décembre /2008 08:00
19 décembre 2008 - 20e jour du calendrier de l’avent et donc le vingtième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)… Noël approche à grands pas.

 

Un tailleur et un forgeron voyageaient ensemble. Un soir, comme le soleil venait de se coucher derrière les montagnes, ils entendirent de loin le bruit d'une musique qui devenait plus claire à mesure qu'ils approchaient. C'était un son extraordinaire, mais si charmant qu'ils oublièrent toute leur fatigue pour se diriger à grands pas de ce côté. La lune était déjà levée, quand ils arrivèrent à une colline sur laquelle ils virent une foule de petits hommes et de petites femmes qui dansaient en rond d'un air joyeux, en se tenant par la main ; ils chantaient en même temps d'une façon ravissante, et c'était cette musique que les voyageurs avaient entendue. Au milieu se tenait un vieillard un peu plus grand que les autres, vêtu d'une robe de couleurs bariolées, et portant une barbe blanche qui lui descendait sur la poitrine. Les deux compagnons restaient immobiles d'étonnement en regardant la danse. Le vieillard leur fit signe d'entrer, et les petits danseurs ouvrirent leur cercle. Le forgeron entra sans hésiter : il avait le dos un peu rond, et il était hardi comme tous les bossus. Le tailleur eut d'abord un peu de peur et se tint en arrière; mais, quand il vit que tout se passait si gaiement, il prit courage et entra aussi. Aussitôt le cercle se referma, et les petits êtres se remirent à chanter et à danser en faisant des bonds prodigieux; mais le vieillard saisit un grand couteau qui était pendu à sa ceinture, se mit à le repasser, et quand il l'eut assez affilé, se tourna du côté des étrangers. Ils étaient glacés d'effroi; mais leur anxiété ne fut pas longue...

 

Si vous voulez lire la suite... cliquez ici... ce lien vous mènera sur un autre article de mon blog



Sinon allez directement sur le site officiel des Frères Grimm.

 

Partager cet article
Repost0
18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 18:00
Le hors-piste est pour le skieur et le surfeur le top du top ! Beaucoup de pratique et une bonne connaissance du terrain sont nécessaires pour passer une bonne journée en plein air sans encombre. Après des chutes de neige entre 50 et 120 cm sur les Alpes, il ne faut pas se relâcher et toujours sortir couvert… le casque bien sûr.

 

Armés de leurs matériels - jamais sans un appareil permettant d’être localisé sous la neige, une pelle, (et un seau… mais non c’est une autre histoire) une sonde télescopique -, les freeriders ont aussi de grandes responsabilités pour leur sécurité et la sécurité de leurs camarades et skieurs car de nombreuses avalanches sont déclenchées durant le hors-piste. Ainsi ne jamais partir seul est l’une des règles qui permet de sauver des vies car souvent une personne du groupe peut donner l’alerte.

 

Consulter la météo semble un must mais là plupart du temps, c’est les vacances et il faut en profiter un max. Bref les vacanciers « oublient » souvent de regarder les bulletins météo. Alors savoir renoncer est aussi un acte de courage.

 

Le nombre de skieurs hors-pistes ne cesse d’augmenter puisque celui-ci apporte des sensations fortes, la découverte des grands espaces et le contact avec la nature à l’état pur. Le plaisir de faire sa trace est le petit plus qui permet au surfeur de contempler son passage... oui mais attention aux avalanches.

Partager cet article
Repost0
18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 08:00
18 décembre 2008 - 19e jour du calendrier de l’avent et donc le dix-neuvième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)… Noël approche à grands pas.

Le chat fit la connaissance d'une souris. Il l'assura si bien que ses sentiments envers elle étaient amicaux et chaleureux que la souris se laissa convaincre et finit par accepter de vivre avec le chat, sous le même toit. «Il nous faudra faire nos réserves de nourriture pour l'hiver,» dit le chat, «sinon nous risquons de mourir de faim. Toi, ma petite souris, tu ne peux pas aller partout, tu pourrais te faire prendre dans un piège.» C'était une bonne idée. Ils achetèrent alors un petit pot de saindoux mais ne savaient pas où le cacher. Ils réfléchirent longtemps et, finalement, le chat décida: «Sais-tu ce que nous allons faire? Nous le cacherons dans l'église; on ne peut imaginer meilleure cachette! Personne n'oserait emporter quelque chose d'une église. Nous poserons le pot sous l'autel et nous ne l'entamerons qu'en cas de nécessité absolue.» Ils portèrent donc le pot en ce lieu sûr, mais très vite le chat eut envie de saindoux. Il dit à la souris: «Je voulais te dire, ma petite souris, ma cousine m'a demandé d'être le parrain de leur petit dernier. Ils ont eu un petit, blanc avec des taches marron et je dois le tenir pendant le baptême. Laisse-moi y aller, et occupe-toi aujourd'hui de la maison toute seule, veux-tu?»

 

Celui ci je ne le connaissais pas. Enfin, on ne peut pas tout connaître. Si vous voulez lire la suite... cliquez ici
qui vous mènera sur un autre article de mon blog.

 

Sinon allez directement sur le site officiel des Frères Grimm.

 

Partager cet article
Repost0
17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 19:30
Observer les oiseaux est pour les amis de la nature un passe-temps et un régal des yeux. Mais pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, les mangeoires et trémies placées dans un endroit protégé font le bonheur de tous. Les oiseaux s’habituent très vites aux différentes mangeoires placées dans un jardin ou près d’une fenêtre sous un balcon.

 

Mésanges charbonnières, rouges-gorges, sittelles et moineaux ne tarderont pas à venir prendre leur quartier sur votre terrasse particulièrement au moment de la saison froide. Les oiseaux ayant une température corporelle de 42°C, il leur faut un apport calorique élevé en hiver. Mais il faut bien gérer l’apport de nourriture car les oiseaux prennent vite l’habitude d’être nourris. Il faut donc prévoir en fonction du temps, des rudesses de l’hiver et réduire l’apport de nourriture à l’arrivée du printemps tout doucement. Si vous avez commencé à les nourrir en automne, il est important de continuer l’hiver sans interruption car ils risquent de ne pas avoir assez de ressource pour chercher à nouveau leur nourriture seul.

 

Pour préserver leur santé, il faut mieux choisir une mangeoire avec des petits barreaux pour les petites pâtes plutôt que la véritable maison où les oiseaux peuvent pénétrer. Les mangeoires plateaux sont à bannir si vous ne pouvez pas les nettoyer tous les jours. Les graines étant dans les mangeoires protégées de la pluie et des salissures, pas de danger que les salmonelles se développent. Que celles-ci soient en plastique ou en bois et en paille, un bon entretien quotidien avec un pinceau et un sérieux nettoyage hebdomadaire au savon de Marseille avec rinçage abondant sont conseillés.

 

Lla sélection des graines dépend du type d’oiseaux que vous souhaitez héberger sous vos fenêtres :

  • Graisses et graines sont très appréciées par les mésanges ;
  • Graines de tournesol et blé attirent les moineaux ;
  • Cacahuètes et céréales sont mangées par les verdiers et les chardonnerets ;
  • Margarine et fruits sont aussi très prisés ;
  • Bannissez le riz qui gonfle dans les petits estomacs.

 

Quant aux différents types de mangeoires, tout est permis, couleurs, formes, fait-maison… Les bricoleurs du dimanche peuvent sans donner à cœur joie.

 

Eh ! Faites-vous comme moi ? Nourrissez vous les oiseaux en hiver ?

 

 


Partager cet article
Repost0
17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 08:00
17 décembre 2008 - 18e jour du calendrier de l’avent et donc le dix-huitième conte de Noël (dans la troisième semaine de l’avent)….

 

Une veuve vivait dans une maison coquette avec ses deux filles qu’elle avait prénommées Blanche-Rose et Rose-Rouge parce qu’elles ressemblaient aux boutons des deux rosiers sauvages, l’un blanc, l’autre rouge, qui croissaient en son jardin.
Blanche-Rose et Rose-Rouge étaient des enfants bonnes, sages, travailleuses et vaillantes ; elles s’aimaient de tout leur cœur. Quand Blanche-Rose murmurait : " Nous nous aimerons ", Rose-Rouge répondait : " Toute notre vie " et leur mère ajoutait : " Ce que l’une aura, elle le partagera avec l’autre ".

Ensemble, elles allaient au petit bois cueillir des fraises ; les animaux de la forêt les connaissaient bien. Le lièvre venait en boule rouler à leurs pieds et grignoter la carotte qu’elles lui avaient apportées. Les cerfs les égayaient de leurs bondissements majestueux et les oiseaux, au faîte des arbres, pépiaient et chantaient à gorge déployée. Quand elles s’attardaient dans la forêt et que la nuit les surprenait, elles couchaient l’une contre l’autre sur la mousse odorante, et s’endormaient jusqu’au matin. Leur mère ne se faisait pas de souci car elle savait qu’elles ne risquaient rien.

Blanche-Rose et Rose-Rouge aimaient tant leur maison qu’elles la soignaient à longueur de journée. A la saison d’été, Rose-Rouge faisait le ménage et déposait tous les matins, avant que sa mère ne se réveillât, un bouquet de roses blanches et de roses rouges. A la saison d’hiver, c’était Blanche-Rose qui entretenait l’âtre où brillait la marmite de cuivre pendue à la crémaillère.

Or, un soir d’hiver …

 

Celui ci je ne le connaissais pas. Enfin, on ne peut pas tout connaître. Si vous voulez lire la suite... cliquez ici
qui vous mènera sur un autre article de mon blog.

 

Sinon allez directement sur le site officiel des Frères Grimm.

 

Partager cet article
Repost0
16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 18:00
Les remèdes naturels sont aussi anciens que l’humanité. Au temps de l’allopathie, beaucoup de remèdes sont tombés dans l’oubli. Dommage car certains peuvent soulager les petits maux quotidiens, mais aussi les grands maux.

 

Un vieux remède tyrolien pour le rhume : dès les premiers symptômes, appliquez des compresses de cires naturelles.

La cire est réchauffée avec un sèche-cheveux. Quand elle devient malléable, l’enrober avec une compresse et la poser sur la poitrine. Vous pouvez poser dessus un coussin chauffant (si possible naturel rempli de millet par exemple).

 

Les enfants préfèrent souvent la cire au cataplasme de farine de lin qui est employé pour les bronches et la gorge (délayer la farine à l'eau froide non calcaire jusqu'à obtenir une consistance semi-pâteuse, chauffer à feu doux en remuant, verser entre deux mousselines propres et appli­quer aussi chaud que possible en recouvrant d'un tissu bien isolant).

 

Les cataplasmes chauds de plantes traitent les inflammations des articulations et les courbatures. Les cataplasmes froids combattent les douleurs articulaires, arthritiques.

 

Récemment des recherches ont été entreprises par l’Université d’Innsbruck sur les effets brumisateurs des chutes d’eau. En effet, une chute d’eau dans la vallée d’Ötztal (Stuibenfall, 150 m) apporte un bienfait aux personnes allergiques et asthmatiques. Nous avons donc essayé avec une amie allergique (aux moisissures) la chute d’eau de Sandeswasserfall (voir photo). Depuis elle n’a plus d’allergie… et son allergologue est sidéré. Comment dit-on : « aux petits maux, les bons remèdes ».

 

Le site de l'office de tourisme de la région, cliquez ici !


Partager cet article
Repost0